Après les travaux de Georges Soulié de Morant au début du XXe siècle, jusqu'aux ébauches de structures comme le SAT ou le CREAET dans les années 70 et 80, la structuration de la profession réclamait des bases solides, des références sûres et une intégrité exemplaire, à même de canaliser les courants de pensées en France.
C'est ainsi que s'est créée la Fédération Nationale de Médecine Traditionnelle Chinoise (FNMTC) dans le but de représenter la profession. La FNMTC est l'organisme central de la MTC dans notre pays.
Elle est indépendante des écoles, des laboratoires, des revendeurs de matériels, etc, afin de garantir une totale impartialité avec un souci d'équité et de probité.
Peu de temps après, un autre structure a vu le jour, c'est l'Union Française des Professionnels de Médecine Traditionnelle Chinoise (UFPMTC), autre regroupement, autres valeurs mais même volonté de faire avancer la reconnaissance en France.
Ensuite, quelques unités ont vu le jour, toutes n'ont pas survécu, mais certaines restent encore d'actualité.
Tous ces courants n'aidaient pas à une vision claire de la part des pouvoir publics, il a donc fallu créer une Confédération, c'est ainsi qu'est née, il y a une vingtaine d'année la Confédération Française de Médecine Traditionnelle Chinoise (CFMTC).
La fédération, et la confédération, ont mis au point un référentiel qualité destiné aux pouvoirs publics dans le but de faire avancer la légalisation.
En savoir plus sur les liens entre la CFMTC et l'ENB.
Elle organise un examen national, DNMTC® et un congrès de haut niveau chaque année à Aix-en-Provence.
Voici une vidéo de présentation du Congrès de la CFMTC.
Et vous, Philippe NICOLAS, quel est votre rôle ?
Depuis le début de la FNMTC, je suis présent dans son sillage et depuis quelques années, je fais parti du CA.
Parallèlement, je fais également partie de la commission examen de la confédération.